Un personnage de cinéma lit le journal.
L'information est sous ses yeux. Sous nos yeux, parfois.
Noir sur blanc. Mais le journal est (était ?) aussi l'instrument d'autres rituels et l'accessoire privilégié d'autres mises en scène. La preuve en image.
vendredi 23 avril 2010
petite frappe
A cette époque, à Los Angeles, même les petites frappes lisent le journal.
Ce mec, c'est de la racaille, comme dirait l'autre (incendiare), un voyou pur. Ca ne peut etre que la presse des courses qu'il lit. Quoique... meme les meurtriers ont de telles habitudes - on pense a Trintignant dans Flic Story, exigeant son temps tranquille avec le journal chaque jour avant la deposition.
On a plus pitie de lui qu'autre chose - les sourcils de Bogie disent tout. Si on ne peut pas le prendre aussi serieusement qu'il ne voudrait, c'est qu'il etait ne simple, peut-etre, mais les plus ruses ont mechament profite pour l'egarer.
petite frappe toi-même, ce mec a l'air d'un parfait gentleman...
RépondreSupprimerl'habit ne fait pas le moine. et tutti quanti !
RépondreSupprimerCe mec, c'est de la racaille, comme dirait l'autre (incendiare), un voyou pur. Ca ne peut etre que la presse des courses qu'il lit. Quoique... meme les meurtriers ont de telles habitudes - on pense a Trintignant dans Flic Story, exigeant son temps tranquille avec le journal chaque jour avant la deposition.
RépondreSupprimerou les mots-croisés !
RépondreSupprimerla faute à la société, ou est-il né méchant ?
On a plus pitie de lui qu'autre chose - les sourcils de Bogie disent tout. Si on ne peut pas le prendre aussi serieusement qu'il ne voudrait, c'est qu'il etait ne simple, peut-etre, mais les plus ruses ont mechament profite pour l'egarer.
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