Un personnage de cinéma lit le journal.
L'information est sous ses yeux. Sous nos yeux, parfois.
Noir sur blanc. Mais le journal est (était ?) aussi l'instrument d'autres rituels et l'accessoire privilégié d'autres mises en scène. La preuve en image.
ouais, l'alibi des sous-titres est discutable : il n'y a pas de journal dans cette image... Un peu de rigueur, que diable.
RépondreSupprimereh eh...
RépondreSupprimerl'esprit français !