un petit souffle de vent

Un petit souffle de vent estival sur la coquette terrasse de ce que l'on ne nommait pas encore un loft, et le journal s'envole.

un oeil sur le boulevard du montparnasse

Au Select, on lit le journal, mais on garde aussi un  oeil gaillard sur les beautés du boulevard !

lire le journal, c'est select !

un paradis parisien ?

Lire le journal en terrasse, rive gauche, un clopo, un café, des croissants. Et le soleil. Quoi d'autre (Oui, même le patron du rade est sympathique) ?

"de ce coté de la rue, on ne fait pas de politique"

Giscard à Alger, la réconciliation, bon, on verra ça plus tard (ou jamais), la baguette est bonne, c'est l'essentiel.

le kiosque de la rue daguerre

placide au Dôme

un kiosque très parisien...

...et très balzacien ! (alors que les nouvelles du jour semblent très captivantes. Le monde serait-il en crise ?)

un bon vieux rade parisien (et un lecteur pas très catholique)

un kiosque à journaux à montmartre

le kiosque de la place de l'étoile

il est toujours là, fidèle au poste, malgré un petit changement d'orientation.

assurance du parisien

sorti du métro populeux à la station étoile, notre ami vendeur de chemises de luxe retrouve toute sa dignité et arbore fièrement mais négligemment son journal de sportif.

toujours aussi difficile de lire l'équipe dans le métro...

moins habile que le pickpocket de bresson, le vendeur de chemises de rohmer est bien embarrassé avec le grand format de son journal préféré. A moins qu'il ne soit distrait voire exaspéré par les bavardages de ses congénères, commentant à leur manière, enthousiaste mais naïve, les exploits des skieuses françaises.

encore un lecteur passionné de l'équipe

"pourquoi tu fais semblant de ne pas me connaître ?"

lire le journal au bord, tout au bord de la Seine

le kiosque de la rue du faubourg saint-denis

celui-là, pas certain qu'il soit toujours là, avec l'ami brialy qui vend des illustrés aux enfants.

le kiosque du métro villiers

48 ans plus tard, il est toujours là.

allure

les deux étudiants marchent le long du boulevard, décidés et détendus. le journal à la main du jeune homme en costume sombre donne plus d'assurance que les cours de droit de celui au costume clair, le héros (Barbet Schroeder !) de ce conte...

chiasme

la même, à l'envers, dans tous les sens, et symétrique...

sérieux