Un personnage de cinéma lit le journal.
L'information est sous ses yeux. Sous nos yeux, parfois.
Noir sur blanc. Mais le journal est (était ?) aussi l'instrument d'autres rituels et l'accessoire privilégié d'autres mises en scène. La preuve en image.
Mais meutre par telephone, on n'a jamais revu ca - ca donne envie de voir Etaix. Non, j'ai tort - Naomi Campbell l'a bien tente, et failli reussi. Avec un telephone portable c'est meme plus facile que jamais. T'as donc raison - rien ne change, ne serait ce que pour le pire.
Toujours la même chose en pire, on ne dévalue plus, on laisse les marchés régler le taux de change et c’est le coût du travail qui sert de variable d’ajustement. Votre blog mérite la visite.
Mais meutre par telephone, on n'a jamais revu ca - ca donne envie de voir Etaix. Non, j'ai tort - Naomi Campbell l'a bien tente, et failli reussi. Avec un telephone portable c'est meme plus facile que jamais. T'as donc raison - rien ne change, ne serait ce que pour le pire.
RépondreSupprimerToujours la même chose en pire, on ne dévalue plus, on laisse les marchés régler le taux de change et c’est le coût du travail qui sert de variable d’ajustement.
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