Un personnage de cinéma lit le journal.
L'information est sous ses yeux. Sous nos yeux, parfois.
Noir sur blanc. Mais le journal est (était ?) aussi l'instrument d'autres rituels et l'accessoire privilégié d'autres mises en scène. La preuve en image.
mardi 19 février 2013
le mal a frappé !
Un voleur de sac se cachait dans ce parc paisible, a pris l'oseille (croit-il) et s'est tiré...
bah, c'est pas grave, il lui reste son journal, à la vieille,
RépondreSupprimerc'est l'essentiel (en tout cas pour le blog).
exactement ! quant au héros de cette triste histoire, il lui reste un sac plein de chaîne ! (et là, on est perplexe...)
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