Un personnage de cinéma lit le journal.
L'information est sous ses yeux. Sous nos yeux, parfois.
Noir sur blanc. Mais le journal est (était ?) aussi l'instrument d'autres rituels et l'accessoire privilégié d'autres mises en scène. La preuve en image.
mardi 31 mai 2011
en planque, et patibulaire
En gare de Nice, rien n'échappe à cet amateur de Dick Tracy.
Faudrait quand meme apprendre a ne pas faire des yeux comme ca si on veut pas se faire reperrer, non?
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