Un personnage de cinéma lit le journal.
L'information est sous ses yeux. Sous nos yeux, parfois.
Noir sur blanc. Mais le journal est (était ?) aussi l'instrument d'autres rituels et l'accessoire privilégié d'autres mises en scène. La preuve en image.
jeudi 16 décembre 2010
un convoyeur bien concentré
Que serait le coup parfait sans la distraction des gardiens de l'ordre et de la propriété ? Ici aussi, comme dans Le Cercle rouge, notre ami Tim peut compter sur un convoyeur de fonds absorbé par son journal.
le cinema du journal rend visible le lisible ! il sera bien puni, celui qui lit au lieu de surveiller, l'ami Tim est sans pitié (mais ce n'est pas un blog sur les poignards assassins..)
C'est vrai que dans le cinematique c'est une erreur qui merite sa punition que de sortir du monde du visible pour le monde lisible.
RépondreSupprimerle cinema du journal rend visible le lisible !
RépondreSupprimeril sera bien puni, celui qui lit au lieu de surveiller, l'ami Tim est sans pitié (mais ce n'est pas un blog sur les poignards assassins..)