Un personnage de cinéma lit le journal.
L'information est sous ses yeux. Sous nos yeux, parfois.
Noir sur blanc. Mais le journal est (était ?) aussi l'instrument d'autres rituels et l'accessoire privilégié d'autres mises en scène. La preuve en image.
lundi 18 octobre 2010
un homme sérieux
Sam Higgins, notre très pragmatique et londonien gardien de phare est en route pour Tan-Y-bwlch (oui), terre de mystère et de superstition, de disparitions et de commères. rien qui puisse impressionner un lecteur de journal.
C'est sur qu'il-y-avait une capacite plus developee du detachment, un jugement plus critique, a l'epoque ou plus de gens fumait une pipe.
RépondreSupprimerpipe + casquette = sagesse !
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