Un personnage de cinéma lit le journal.
L'information est sous ses yeux. Sous nos yeux, parfois.
Noir sur blanc. Mais le journal est (était ?) aussi l'instrument d'autres rituels et l'accessoire privilégié d'autres mises en scène. La preuve en image.
mercredi 29 septembre 2010
les droits sacrés de la presse foulés aux pieds par la brutalité cynique
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire