canicule de juillet

(cette image provient de l'excellent blog moon in the gutter)

discuter en tenant le journal à la main à Tigreville (ou Villerville), calvados

non, elle lui reproche de venir perturber sa tranquillité, basée sur le voeu d'abstinence de son mari, fameux buveur post-colonial traumatisé par les bombardements américains. le jeune gandin la rassure, mais arrivera ce qui devait arriver. c'est une autre histoire (sinon, au-delà du rituel de l'achat qui lui donne une sorte de contenance sociale, on ne voit pas Fouquet lire le journal) ...

acheter le journal à Tigreville (Villerville), calvados

Gabriel Fouquet, écrivaillon parisien rédacteur d'annonces publicitaires alimentaires, hussard probable et buveur élitiste, ne saurait lire autre chose que le Figaro littéraire. et ce n'est sans doute pas cet achat que va lui reprocher la bourgeoise en manteau. nous allons le voir...

(tiens, un cycliste qui passe ! remarquons aussi qu'en ce mois de juin il fait bien frisquet sur la côte normande)

les prisonniers lisent le journal, 2

un journal moins instructif, manifestement, et une cellule moins cosy...

les prisonniers lisent le journal, 1

un journal très instructif pour une cellule très cosy, sous l'égide du président Lincoln...

la police lit le journal

elle téléphone aussi.

que fait la police ?

face à ce tourbillon de crimes, les honnêtes citoyens qui fument le cigare au club ne peuvent que s'indigner, et placer les autorités face à leurs responsabilités. non Mais.

tourbillon

le tourbillon de unes dramatiques qui inaugure ce film ne laisse aucun doute au spectateur : nous allons voir un vrai méchant.

blanc

crise morale

l'épicerie-buvette-kiosque du bourg

nul besoin d'aller plus loin : tout est là !