Un personnage de cinéma lit le journal.
L'information est sous ses yeux. Sous nos yeux, parfois.
Noir sur blanc. Mais le journal est (était ?) aussi l'instrument d'autres rituels et l'accessoire privilégié d'autres mises en scène. La preuve en image.
N'y aurait-il pas une connexion secrète (pas si secrète que ça) entre ce blog et celui du jeu des images ?
RépondreSupprimerseuls les plus malins le voient.
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