Un personnage de cinéma lit le journal.
L'information est sous ses yeux. Sous nos yeux, parfois.
Noir sur blanc. Mais le journal est (était ?) aussi l'instrument d'autres rituels et l'accessoire privilégié d'autres mises en scène. La preuve en image.
merci à la boitenoire pour cette image !
RépondreSupprimerC'est avec plaisir que la boitenoire s'ouvre pour un blog si informé/informant.
RépondreSupprimerTo judge by Tomas Crown's vexed expression, not everyone's so accommodating.
RépondreSupprimerc'est que lire le journal, à cette époque, c'était encore la prière de l'homme moderne....
RépondreSupprimer