du particulier et du général

"Y parlaient de ton diabète dans La Montagne ?"

panique morale aux Gourdiflots

"Comme ils ne tenaient pas à "vivre comme des bêtes" et désiraient se tenir au courant des moindres fluctuations du vaste monde qui les portait, ils lisaient le journal. Le Glaude s'abonnait pour un an à La Montagne. L'année suivante, le Bombé s'acquittait de l'opération". Mais voilà, ce matin, c'est la panique !!!

un sacré titi brésilien

et re-hop, de jolies chaussures bien vernies pour le deuxième classe Dufourquet !

lire le journal, l'air de rien

Et hop ! Ni vu ni connu, le permissionnaire !

ben quoi alors ??

On a beau être le prospère propriétaire de la brasserie chic de Cherbourg et de son cinéma à la pointe, s'être aménagé un petit coin cosy pour se reposer des tracas, on ne peut plus lire son journal tranquille. Parfois, on se demande.