aucun danger, paris respire !

La création puis l'actualisation de l'indice d'atomisation des ménages est également une bonne nouvelle. Non ?

un lecteur éclectique, ou apolitique ?

Après l'alarmisme racoleur de L'Humanité, Le Figaro nous plonge dans les arcanes de la diplomatie. Kennedy et Adenauer sauveront-ils le monde ? La bombe était-elle de gauche ou de droite ?

la fin du monde (1963) ?

Un titre un tantinet racoleur (pour un scénario plutôt indigent) !!
- où l'on voit par ailleurs que ce brave piéton des beaux quartiers est un lecteur bien rouge...

un kiosque très parisien...

...et très balzacien ! (alors que les nouvelles du jour semblent très captivantes. Le monde serait-il en crise ?)

un kiosque brulant

changer la vie

"Les gens qui utilisent les petites annonces sont des idéalistes ; en 5 lignes ils essaient de transformer leur vie" (Louis Mahé)

"campagnard taciturne cherche femme, même handicapée" (Marion / Julie Roussel, cynique)

lire le journal à l'étage d'un bus à impériale

Même s'il n'est pas facile de se concentrer quand un quidam parade et pérore sans vergogne, alignant les poncifs sur l'ipséité du tactile dans le jargon germanique des sciences humaines de l'époque...

la fin de la transparence

irma lirait-elle le Figaro ?

Allez, Nestor, ce n'est pas le moment de discuter politique !!

France Soir est en feu

Nestor Patou, très honorable et très intransigeant gardien de la paix et des vertus, n'a sans doute rien contre le plus populaire des quotidiens français de l'époque... mais voilà. On ne saurait purifier le quartier des Halles sans allumer quelques bûchers !

le monde du sport

rien de plus sérieux que le sport....

toujours des nouvelles de la guerre en couleurs

lire le journal bien peinard dans son canapé...

... alors que franchement, l'heure ne semble pas à la détente !!

ils les aiment chastes et pures...

Où l'on se dit que Mocky, parfois, on ne comprend plus...

retour dans le métro, tout le monde lit le journal

... sauf notre ami Frédéric qui préfère lire un bon bouquin (Le Voyage de Bougainville, pour ne pas le nommer !)

"Vous voulez un journal ? Non merci"

la crise, la crise, la crise !

ça ne rigole pas à avignon

london pride

éloigner les tourments en lisant le journal

Saisir, désinvolte, un journal qui semble abandonné sur un fauteuil opportun, quoi de mieux pour rentrer dans son quant-à-soi ?

encore des nouvelles de la guerre

smukuo tozak bo trihddqai etok !!

sale ambiance à table

A croire que ce triste cénacle ne se réjouit pas de la libération de Royan du joug de l'occupant.