mardi 28 décembre 2010

un commerçant bien désoeuvré

Les affaires ne marchent pas fort pour Charles, qui semble s'en remettre à la fortune, ou aux champs de course, pour se refaire la cerise. Le regard goguenard de son acolyte (l'ineffable J.-M. Proslier !) ne présage rien de bon...

mercredi 22 décembre 2010

le journal, le drink, la télé

Après les balades cyclistes et ensoleillées au bord de la Loire  (voir le cinéma des vélos), les grands amoureux satirisés par Pierre Étaix sacrifient à tous les rituels ; le journal de monsieur, pur accessoire, va laisser la place à la contemplation de la télévision.

dimanche 19 décembre 2010

je prends tout, gardez la monnaie !

Tout entier dévoué à sa nouvelle passion, le soupirant débarrasse promptement le vendeur à la criée de sa pile de journaux ! L'étoile Stella doit lui appartenir.

jeudi 16 décembre 2010

un convoyeur bien concentré

Que serait le coup parfait sans la distraction des gardiens de l'ordre et de la propriété ? Ici aussi, comme dans Le Cercle rouge, notre ami Tim peut compter sur un convoyeur de fonds absorbé par son journal. 

mercredi 15 décembre 2010

lire le journal tout nu


Bien détendu et bien accompagné, Tim lit le journal à la plage, enfin celle du lac, dans un petit bled du Jura. Qu'on ne s'y trompe pas, il prépare le coup parfait ! le vrai, l'ultime, celui qui permet de se retirer des affaires.

mercredi 8 décembre 2010

un soulagement ambigu






Frankie Bono toujours angoissé achète une dernière édition au kiosque du coin de la rue. Enfin, son crime est publié ! C'est un soulagement très ambigu qui s'empare du tueur à gages ; en effet, il doit encore accomplir son contrat, mais dans des conditions moins confortables. Pauvre Frankie Bono.

samedi 4 décembre 2010

le journal parle t-il de moi ?

Baby boy Frankie, le tueur solitaire à la dérive, a tué. Il n' a pas encore exécuté son contrat. Il a dû tuer le gros homme aux rats qui voulait le faire chanter. Frankie Bono achète tous les journaux et les compulse fiévreusement pour savoir si on parle de son crime.